Bracelet ou bracelet ? L'Omega Speedmaster Moonwatch

La Speedmaster est peut-être l'une des rares montres qui peuvent revendiquer le surnom d '«icône» et lui faire signifier quelque chose au-delà de la simple reconnaissabilité durable et du fait que nous disons qu'elle est, eh bien, emblématique. Je veux dire, le Speedy est ancré dans l’histoire. Je n'ai pas besoin de ressasser toute la chronologie du programme spatial de la NASA et comment la montre est passée du chronographe de course à l'accompagnement d'alunissage. Je dirai cependant que j'ai visité le National Air & Space Museum à Washington, DC, la semaine dernière, où la Speedmaster de Gordon Cooper issue des missions Gemini est fièrement exposée. La montre dégage une énergie qui se renforce lorsqu’elle est vue dans son contexte.

Le nouveau bracelet replique montre Omega Speedmaster reprend le design à cinq maillons et crée quelque chose à la fois nouveau et intemporel. Tout d'abord, il y a la conicité de 20 mm jusqu'à 15 mm au niveau du fermoir (l'ancien modèle n'avait en fait aucune conicité). Le fermoir est en fait l’endroit où le design semble à des années-lumière plus mature. Au lieu d'un fermoir en acier brossé avec les mots « Omega Speedmaster Professional », celui-ci présente un simple motif vertical avec le logo Omega intégré en haut.

Le bracelet en acier fait partie de ces choses où il aurait très bien pu être de trop. Omega aurait pu sortir et sur-ingénierie la chose. Mais tout fonctionne, du boîtier à double gâchette au fait que (et faites-moi confiance sur ce point) il ne tire pas les poils des bras.

La gamme Speedmaster actuelle comprend également deux options de bracelets pour les modèles en acier (oui, une fois que vous vous lancez dans les métaux précieux, le caoutchouc entre en jeu, mais j'essaie de vous simplifier la tâche autant que possible). La première option est celle que je considère assez sous-estimée : le bracelet en nylon. Il s'agit d'un textile en tissu sur la partie supérieure, avec un dessous en cuir. Il ajoute un bon contraste à la montre en ajoutant un autre composant noir, permettant ainsi au cadran de briller un peu plus qu'il ne le ferait s'il était associé à plus d'acier.

Je considère cette option comme la plus furtive de toutes disponibles. Il apporte toujours un niveau de luxe à la table via le cuir et une boucle déployante, mais il donne à la montre un élément outil qui évoque les sangles velcro d'autrefois (nous en parlerons plus tard). Je le considère comme une OTAN de luxe.